Le Guignolet d'Angers est une liqueur obtenue par macération de cerises dans de l'eau-de-vie additionnée de sucre. Titre généralement entre 16 à 18°.
Le prieuré de la Fidélité est constamment pauvre, car des
postulantes y sont acceptées sans dot. Faute de moyens financiers et la crise janséniste aidant, le
couvent est fermé par l'évêque d'Angers en octobre 1747. Les dernières
religieuses soumises rejoignent la Fidélité d'Angers, où elles apportent leur
recette de guignolet.
Après la dissolution des ordres religieux en 1791, la production
sera reprise par de nombreux liquoristes ou apothicaires angevins.
Georges Gautron : Son père et son oncle sont négociants en
vins et eaux-de-vie en gros quai Ligny,
comme l'aïeul l'était à Montreuil-Bellay.
Dans les années 1880, il est probablement employé dans la distillerie-confiserie-chocolaterie de son neveu, Émile Gautron, associé à Fernand Gaucher, 73 rue Saint-Aubin. Mais Léontine Gautron meurt en 1893, Émile en 1898. ( l’entreprise est racheté par Marcel Genteur, le 21 novembre 1898.)
comme l'aïeul l'était à Montreuil-Bellay.
Dans les années 1880, il est probablement employé dans la distillerie-confiserie-chocolaterie de son neveu, Émile Gautron, associé à Fernand Gaucher, 73 rue Saint-Aubin. Mais Léontine Gautron meurt en 1893, Émile en 1898. ( l’entreprise est racheté par Marcel Genteur, le 21 novembre 1898.)
Dont le Guignolet, recette de 1817.
1856 : création d'une distillerie par Launay et Glétron
1890 : dépôt des premières marques par Gabriel Rayer
La maison Orhy passe ensuite à Georges Benoist, puis à
Frédéric Guéry qui présente à l’exposition de 1895 guignolet, triple-sec et
fraiséïne.
En 1893, située rue Franklin, Giffard est stabilisée. Il
produit alors guignolet, sirops, anisette, cherry sélect, parfait triple-sec, …
le Parfait Guignolet, marque déposée en 1906. L'entreprise
Combier avait acheté la brevet de fabrication à un certain Georges Gautron. James
Combier achète donc le brevet d'un guignolet à Georges Gautron, se disant
arrière-petit-neveu de Madeleine Gautron, qui fut la supérieure du couvent de
la Fidélité de Saumur.
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